Andrea Daezli

Andrea Daezli

Spécialiste internationale de l'évaluation des incidences environnementales et sociales

Andrea Daezli est une spécialiste en évaluation des impacts environnementaux et sociaux qui compte plus de 23 ans d’expérience au Canada et à l’étranger. Elle a acquis une expérience considérable en gestion de projets et en développement des affaires. Elle a travaillé dans les secteurs privé et public aux paliers municipal, provincial, fédéral et international. Elle a réalisé plus de 50 évaluations environnementales et études d’impact. 

En tant que spécialiste du Partenariat d’assistance technique (PAT), Andrea et une autre spécialiste, Vilma Gayoso-Haro, travaillent en collaboration avec le ministère argentin de l’environnement et du développement durable et d’autres organismes fédéraux. Elles se concentrent sur l’enrichissement des capacités et le renforcement des évaluations d’impact social inclusives et des processus de participation publique, en suivant les meilleures pratiques internationales. 

Andrea vient d’un milieu qui a façonné son amour de la nature et de la planète, orientant en bout de ligne son parcours professionnel. Elle a voulu œuvrer dans le domaine de l’environnement avec des entreprises qui veulent bien faire et a toujours apprécié l’expérience de chacun dans la recherche de solutions. Andrea est principalement motivée par son travail auprès des communautés autochtones qui sont gardiennes de leurs terres et elle veille à ce que ce rôle soit conservé au sein des communautés.    

Cette résidente du Québec, au Canada, est la responsable mondiale de la pratique en matière d’atténuation des risques et de diligence raisonnable chez Ausenco Sustainability. Andrea travaille conformément aux meilleures pratiques internationales, notamment les principes de l’Équateur de la Banque mondiale et les normes de performance de l’International Finance Corporation. Andrea parle couramment le roumain, le français, l’anglais et l’espagnol. Biologiste professionnelle agréée au Québec, elle est titulaire d’un diplôme d’études supérieures en sciences de l’environnement de l’Université de Sherbrooke, au Québec, et d’un diplôme de premier cycle en biologie et en sciences de l’environnement de l’Université McGill, à Montréal, au Québec.