Lesley Burns est une spécialiste chevronnée dans les domaines de la gouvernance, de la reddition de comptes et du développement des capacités, où elle compte 25 années d’expérience. Elle a conçu et mis en place des programmes de développement des capacités à l’intention des responsables d’audits et des membres élus de comités de surveillance de divers gouvernements locaux, provinciaux et fédéraux au Canada et à l’international. Dans le cadre de ces programmes, Lesley a animé plus de 100 ateliers et coursen présentiel, en mode hybride et virtuel.
À titre de spécialiste au service du Partenariat d’assistance technique – Mécanisme de déploiement d’experts (PAT-MDE), Lesley collabore aux côtés d’autres spécialistes canadiens avec le Bureau du contrôleur général (vérificateur général) du gouvernement de l’Équateur pour soutenir une expansion de la pratique de l’audit de performance. L’initiative vise à renforcer la pratique de l’audit de performance afin de permettre au Bureau du contrôleur d’assurer une utilisation plus efficace des ressources de l’État. »
Les domaines d’expertise de Lesley comprennent des initiatives internationales, comme l’évaluation du programme pour le renforcement du rôle des parlementaires de la Banque mondiale, ainsi que la conception et la facilitation de programmes de développement des capacités des professionnels de la fonction publique du ministère des Affaires étrangères du Canada. Elle a aussi étudié, développé et mis en place des programmes de formation et de renseignement axés sur la promotion de la saine gouvernance et la lutte contre la corruption pour l’Organisation mondiale des parlementaires contre la corruption (GOPAC).
Basée à Ottawa, Lesley est la vice-présidente du développement professionnel de la Fondation canadienne pour l’audit et la responsabilisation (FCAR). Plus tôt dans sa carrière, elle a représenté le gouvernement du Canada à titre d’agente de relations publiques et universitaires de l’ambassade du Canada à Caracas (Venezuela). Lesley a un doctorat en science politique de l’Université de la Colombie-Britannique, ainsi qu’une maîtrise en science politique et un baccalauréat spécialisé en développement international de l’Université de Guelph.